Abstract

“Las de l’amer repos,” l’un des rares poèmes rédigés par Mallarmé à Tournon-sur-Rhône entre 1863 et 1864, évoque un seuil stylistique qui correspond au concept d’une nouvelle source d’inspiration naturelle. L’improductivité frustrante de la première moitié des vingt-huit vers cède à l’impulsion créative de la deuxième moitié qui est stimulée par la représentation symboliste de la nature qu’effectue le peintre chinois perçu par le narrateur comme un modèle artistique. Notre analyse écopoétique se concentre sur l’environnement du poème afin de valoriser la matérialité des éléments constitutifs de la composition transitionnelle.

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